Art martial à la fois traditionnel pour préserver l’art antique et ses origines, et évolutif pour qu’il s’exprime pleinement en harmonie avec le temps et les êtres.

Maître Alain Floquet ancien membre de la brigade anti-commandos de la police nationale (appelée aujourd’hui Le Raid) fut constamment en contact avec la réalité de la violence et il enrichit son art de cette expérience réaliste et pragmatique.  Les armes sont donc tout naturellement intégrées dans la pratique, qu’il s’agisse du tanto (couteau en bois), du tambo (matraque, parapluie), du hambo (djo : bâton court) ou du tonfa (arme des policiers).

Rien de tel qu’une démonstration effectuée lors des 30 ans de notre fédération : la FFAAA (Fédération Française d’Aikidô, Aikkibudô et Aaffinitaires) pour illustrer notre pratique.

Une façon originale de décrire maître Alain Floquet et son art est de faire appel à un aikidoka : Léo Tamaki

“Présent dans une vingtaine de pays, l’Aïkibudo est aujourd’hui une discipline reconnue qui rayonne bien au-delà des frontières de l’hexagone. Un succès dont très peu d’adeptes peuvent se prévaloir de leur vivant…

Je connais maître Floquet depuis une douzaine d’année aujourd’hui, et je l’ai toujours vu agir en gentleman, avec simplicité, générosité et élégance. J’ai en outre eu l’occasion de ressentir plusieurs mouvements en lui servant de uke, et pu constater que son succès et son audience étaient plus que mérités. Ses mouvements, aussi puissants que doux, font partie de mes meilleurs souvenirs de pratique. Ils étaient pour tout dire d’un niveau bien supérieur à ceux de la plupart des 8^ème dan dont j’ai pu recevoir la technique.”

https://www.leotamaki.com/2016/06/alain-floquet-le-gentleman-de-l-aikibudo.html.